Olivier Gidoin, comment en êtes-vous venu à écrire des romans ?
J’aime beaucoup lire. Et à force de lire, j’ai eu envie d’écrire. Au début, j’ai commencé par écrire des poèmes et des slams. Il y a longtemps, j’ai gagné une bourse pour écrire des poèmes.
Puis, je me suis mis à écrire des romans. C’est une autre forme d’écriture, il faut inventer des personnages, des atmosphères, des aventures… Parler du quotidien aussi.

De quoi parle votre deuxième roman « Le retour de Bil Drake » ?
C’est un western. L’histoire se passe à l’époque de la conquête de l’ouest et parle d’un jeune sherif qui retourne dans la ville où habitent ses parents. Il s’aperçoit qu’un riche propriétaire fait régner sa loi sur la ville et que c’est la « loi du plus fort ». Face aux injustices, le shérif, Bill Drake, essaie de rétablir l’ordre.
Comment organisez-vous votre temps entre l’ESAT et votre activité d’écriture ?
Je travaille à l’atelier Conditionnement de l’ESAT depuis 1995. J’écris quand je rentre de l’ESAT. Je créé mes personnages puis j’écris soit sur papier soit sur l’ordinateur. Cela demande beaucoup de travail mais j’aime inventer des personnages et des histoires.
Quel accueil avez-vous reçu lors de la présentation de votre livre ?
J’ai présenté mon livre aux collègues de l’ESAT et à la Directrice. J’ai aussi participé à une séance de dédicaces dans une librairie de Chaumont, aux côtés de deux autres écrivains que j’avais déjà rencontrés au salon du livre. Il y avait du monde, j’étais content.
Pour acheter « Le retour de Bill Drake », rendez-vous sur le site de la librairie « A La Une »